Lors de sa lune de miel, Daphné réalise à quel point elle ignore les choses du lit conjugal. Colin parvient à une décision concernant Marina.
En avant-première au Geneva International Film Festival cette année, la série Big Mood en compétition internationale est venue avec sa créatrice, Camilla Whitehill, qui nous parle de la genèse du projet. Cette dramédie en six épisodes vient proposer une histoire ancrée dans le réel qui vous fera sourire.
L'idée de Big Mood a germé dans l'esprit de son autrice bien avant qu'elle n'ait l'opportunité de développer une série. "J'ai toujours voulu écrire sur l'amitié féminine, car c'est un sujet qui me passionne profondément," explique-t-elle. "L'idée a toujours été d'explorer cette amitié avec la complexité de la maladie mentale," précise-t-elle. La série suit deux amies dans leur trentaine, Maggie et Eddy, alors qu'elles naviguent dans les eaux parfois tumultueuses de la vie adulte, le tout avec une dose généreuse de comédie et une sincérité désarmante. Nicola Coughlan en tant que Maggie est atteinte d’un trouble de la bipolarité, et Lydia West en Eddy la soutient tout en ayant ses propres problèmes. Ensemble contre tout, mais parfois contre elles-mêmes puisqu’elles doivent surmonter des obstacles pour préserver leur amitié bousculée par la maladie mentale.
Camilla Whitehill souligne que la série ne cherche pas seulement à divertir, mais aussi à briser certains stéréotypes sur l'amitié et la santé mentale. "Personne n'est parfait, et soutenir un ami dans le besoin peut être compliqué," confie-t-elle. La série reflète cette réalité avec une honnêteté brutale, mais toujours empreinte d'une touche d'humour. Lorsqu'on lui demande comment elle a réussi à insuffler autant d'authenticité à Big Mood, Camilla répond en toute simplicité : "Je me suis inspirée de ma vie et de mes amis." Chaque dialogue, chaque interaction, respire le vécu dans le Londres haut en couleurs. Cette authenticité n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat de nombreuses années de travail et de perfectionnement. "Avant d'avoir ma propre série, j'ai eu le temps de peaufiner mon écriture, et je pense que cela se ressent dans les personnages," ajoute-t-elle.
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Commentaires (12)
DU DRAMA
C'est sympa de traiter des sujets actuels à travers la série. Même si j'aime beaucoup Thompson c'est vrai que ça ne se fait pas d'avoir menti à Colin, peut-être que si elle lui avait dit la vérité il aurait pu accepter et on aurait su si vraiment il n'avait aucun sentiment pour Peneloppe au passage.
Trop drôle qu’elle reprenne quasiment mot pour mot la réflexion que je m’étais faite. C’est la fin de la grâce nuptiale. Mais à quel prix ?
Marina est bien menue pour porter un enfant depuis 6 mois. Le corset peut-être ? 😳 Bon, cette série, c'est vraiment un guilty pleasure parce qu'on est loin d'une histoire à la Jane Austen (que j'aime énormément) 😅 L'héroïne a un petit air de Keira Knightley – mais en beaucoup moins piquante !
Dommage que l’héroïne soit aussi fade, antipathique et immature. En plus les deux acteurs ont très peu d’alchimie. Heureusement que les personnages secondaires sont cools parce que la romance principale est bancal.
Le mensonge éclate, ça fait mal. Simon doit se sentir un peu violé, mais je comprends la colère de Daphné, c'est un très gros mensonge et il a utilisé son ignorance contre elle. Il a beau dire que ce qu'il veut, c'est vrai là dessus. Même si de son côté à elle, c'est un peu abusé de l'accuser de lui avoir "volé sa vie", car elle a pris une décision en se basant sur ce qu'il avait dit, et il y une part de vrai dans ce qu'il a dit, même si la sémantique laisse à désirer...
Tout ça pour un baiser. Le XIX ou le siècle du drama