Après la mort de Mercks, Caplan se retrouve seul et doit à tout prix trouver un moyen de rentrer en contact avec les Invisibles, ces anciens militaires revenus d'Angola pour se venger. La seule piste restant à sa disposition est celle de Myriam Elmidoro, la soeur de Mercks, qui dirige un cercle de jeu à Paris. De leur côté, les Invisibles tentent de trouver un acheteur pour leurs 400 kilos d'or. Ils finissent par rencontrer madame Arifa et ses fils Latif et Daniel. Par ailleurs, c'est la course contre la montre pour le reste du groupe de Caplan, qui tente de récupérer Théo, en danger de mort depuis que Lemoine est à ses trousses...
Les trois séries de Canal+ les plus suivies ces derniers mois parmi les membres de BetaSeries sont celles de notre reco du weekend.
Accompagnez une équipe de joueuses de football qui subit un crash d’avion et se retrouve coincée dans une forêt sombre pendant près de 19 mois dans Yellowjackets. En parallèle, suivez également leurs versions adultes près de 25 ans plus tard dans leurs vies changées à jamais. C’est ça, le high concept de Yellowjackets co-créée par Ashley Lyle et Bart Nickerson qui ont travaillé ensemble notamment sur Dispatches From Elsewhere. La série suit donc deux lignes temporelles, celle des années 90 quand l’accident a lieu et les événements qui se déroulent dans forêt, et 25 ans après pour voir comment elles ont géré le trauma. L’écriture rappelle les grands titres classiques du suspense avec des symboles à décrypter et les secrets que cachent nos protagonistes vont bien happer les spectateurs. Les personnages adolescents traversent une crise identitaire tandis que les adultes en subissent encore les conséquences. De la vulnérabilité, de la détermination, et un panel de personnalités aussi différentes les unes que les autres composent Yellowjackets.
B.R.I., créée, écrite et réalisée par Jérémie Guez (soutenu à l’écriture par Erwan Augoyard), renouvelle la série policière contemporaine tout en s’inscrivant dans la lignée d’Engrenages ou de Braquo. Au croisement de ces séries emblématiques, B.R.I met en scène une brigade rarement vue à l’écran : la Brigade de Recherche et d’Intervention, un corps de la police judiciaire amené à agir et prendre des risques en enquêtant sur les affaires du grand banditisme. À la BRI Versailles, unité historique spécialisée dans le grand banditisme, Saïd prend la tête d’une équipe constituée de jeunes flics d’élite : Badri, Vanessa, Julien et Socrate. Il devra trouver sa place au sein de son groupe, en imposant des méthodes bien différentes de celles de Patrick, l’ancien chef charismatique et respecté qui entretient des liens troubles avec le voyou Éric Perez, alors qu’une guerre des gangs risque d’embraser la capitale. Une promesse captivante en termes de fiction et de réalisme.
Commentaires (4)
Mouais, mouais, mouais… On repart sur les flics qui se disent tiens, on va aller braquer de la drogue, pas de souci, pour se payer une info… Tout le monde en fait un peu trop, des comédiens aux scénaristes… Ça se regarde mais c’est difficile d’entrer totalement dedans.
Je suis bien d'accord, depuis la saison 2, BRAQUO à perdue son réalisme et sa crédibilité qui la rendait si originale dans la saison 1. Petit à petit, BRAQUO devient une série policière banale et sans goût, je suis déçue.
J'aime bien Braquo, je suis prêt à fermer les yeux sur quelques incohérences, mais faut pas pousser !!! (Attention spoilers) Impossible d'accéder au bar d'Atom l'Arménien sans passer le barrage de ses sentinelles/gardes du corps devant la porte, on le voit pour l'équipe à Kaplan puis pour Lemoine. Mais après, quand Lemoine revient avec un flingue gros comme le bras, où sont ces gardes du corps ? Partis aux chiottes ? Et quand ça commence à flinguer, faut pas croire que les types à l'intérieur se jettent par terre (à part Atom) ou derrière le bar ? M'enfin pourquoi faire, voyons, restons debout pour se faire flinguer plus facilement, on est des malhonnêtes, on est forcément cons et sans instinct de survie... Du coup évidemment une fois que ça m'a énervé, je trouve bizarre que 4 flics professionnels entraînés soit infoutus, depuis le trottoir d'en face, de toucher Lemoine qui ne court pas bien vite, encombré par son gros flingue. Et si des témoins de la fusillade peuvent donner ensuite un portrait robot ressemblant de Lemoine (y avait pourtant pas l'air d'avoir un chat à proximité dans la rue), y en a pas un qui a dit "et puis après y a 3 types et une nana dans un 4×4 Audi qui lui ont tiré dessus et l'un d'eux est entré une minute dans le bar ensuite, je vais vous les décrire aussi, et puis j'ai noté le n° d'immatriculation du 4×4 : BA-641-QG 92" (enfin, ça va peut-être ressortir dans les épisodes suivants, mais j'en doute). (Oui, le même 4×4 avec lequel ils sont allés piquer la drogue, parce que ces idiots de trafiquants, eux, ils ne prévoient aucune sentinelle, donc tu peux débarquer comme ça et tous les niquer.) Gra.
ma