Tout en se pliant aux règles de la police dont elle fait désormais partie, l'équipe poursuit un homme qui fait circuler des armes chimiques dans les rues de Star City.
Jennifer Walters, avocate à la cour, la trentaine passée, célibataire de son statut, est donc une cousine de Bruce Banner, notre scientifique attitré des Avengers. Suite à un accident où elle ingère de son sang, la voici changée en She-Hulk (surnom qu’elle n’approuve pas de prime abord). Dès le début, on nous nous met dans l’ambiance avec nos deux Hulks qui font un stage d’été. Smart Hulk va apprendre à sa cousine comment gérer la transformation à savoir le self control. Par chance, étant une femme avocate qui se fait mansplainer partout, elle a l’habitude de garder son self control et aucune personnalité monstrueuse ne prend le dessus lorsqu’elle se transforme en Hulk. Elle rejoint rapidement un nouveau cabinet spécialisé dans les personnes dotées de super pouvoirs.
She-Hulk démarre sur Disney+ dès le 18 août au rythme d’un épisode par semaine pour 9 épisodes. Cette critique sans spoiler est basée sur les quatre premiers épisodes.
Après WandaVision qui a caressé le genre de la comédie sur les premiers épisodes et Hawkeye et son ton plutôt humoristique, She-Hulk propose enfin une véritable comédie dans l’univers Marvel qui embrasse le genre à bras le corps. Déjà par le format de 30 min qui assume pleinement, puis également avec des scènes absurdes et légers appuyés par le fait que notre héroïne brise le quatrième mur parfois. Cela n’enlève en rien au bon déroulement de l’histoire et à son suspens et ses scènes d’action. La série est truffée de références, on voit déjà Wong et Abomination dans les quatre premiers épisodes et les scénaristes ne comptent pas s’arrêter là. Il est vrai que d’énormes critiques ont été soulevées par rapport aux effets spéciaux, ce qui a entraîné une plus grande discussion sur les pratiques des films à plus gros budget de chez Marvel en général, mais quoi qu’il en soit, d’un point de vue visuel, ce n’est pas aussi horrible que ce qu’on veut nous faire croire. Et contre toute attente, on s’habitue très rapidement à l’effet Hulk à l’écran.
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Commentaires (9)
Même si Dinah n'a plus son cri de méta, elle pourra avoir un cri artificiel comme la Laurel Lance originelle.
Felicity m'agace au plus haut point dans cette saison !
A aucun moment Oliver ne se dit pas que des aveux sous la menace ne conduiront pas à une condamnation ? Complètement illogique de la part d’une équipe de justiciers faisant ça depuis 7ans. Les boutades geek de Felicity étaient mal placées et ne faisait que faire passer le personnage pour un boulet, ce que les scénaristes ont réussit à lui coller comme image depuis 4ans... C’était vraiment mauvais. C’est dommage car l’idée d’associer la team à la police permettait de trouver une autre dynamique mais ça traîne. Je sens l’intrigue de mauvais goût également sur la mort de Diaz. Le passage avec Connor nous annonce aussi du cliché pour la suite... Je ne comprends pas l’intérêt du personnage de William et j’aurais trouvé ça plus interessant que Connor soit adopté par Oliver que par Diggle par rapport aux comics...
Cette saison est d’un ennui mortel..... 😒😴
Petite incohérence ou c est moi ? , dans le futur le jeune dis être le fils de Diggle mais en prison le père appel son fils Connor 🤔 donc c est le fils de qui ?
Même les FF dans cet épisode ne servait à rien d'autre qu'à gagner du temps. Beaucoup d'incohérence. Bref l'ennui total...
Ce qui m'a le plus interrogé durant cet épisode c'était pourquoi Dinah a les cheveux aussi gras ? XD Bref du coup je me suis ennuyée, les seuls intérêts que j'ai trouvé c'était les flashforward, les passages avec Laurel et les boutades de Felicity comme on avait droit aux débuts de la série. Tout le passage "notre façon de faire c'est la meilleure, faut nous écouter Dinah, on va leur montrer" c'était lourd.
Juste pour le suit up!