Retour sur l'affaire Omar Raddad. En juin 1991, Ghislaine Marchal, une veuve financièrement aisée, est retrouvée morte dans sa villa des hauteurs de Mougins. Les lieux du crime prennent une tournure théâtrale avec l'inscription retrouvée par la police et écrite en lettres de sang : «Omar m’a tuer». Tout semble désigner le jardinier de la défunte. Or, ce Marocain sans histoires a toujours clamé son innocence. Il a malgré tout été condamné. La grâce présidentielle accordée par Jacques Chirac en mai 1996 a-t-elle suffi à réhabiliter Omar Raddad ?