Pour aborder le Brésil, pays grand comme seize fois la France, Philippe Gougler a choisi la méthode douce : par la côte et par le sud, en commençant par la ville de Rio. Le pays n'est pas très réputé pour ses trains. Il y a bien eu une époque faste dans la première moitié du XXe siècle, mais depuis, plus rien. Philippe est donc très curieux de voir ce qu'il reste de cette splendeur ferroviaire d'où partent tous les trains de banlieue. Le lendemain, un petit train attend Philippe, plus au sud, qui part de Curitiba. Après quelques kilomètres, la récompense est à la hauteur de ses espérances, avec une vue imprenable sur toute la vallée.