Le père de Gianikian lit des morceaux de son journal intime. Ce portrait sauve de l'oubli les quatre années d’esclavage au Kurdistan de Raphaël Gianikian. À cette célébration répond une autre, à la fin du film : le comédien Walter Chiari réagit, à ça façon, aux mémoires de Raphaël en chantant pour lui, dans le contre-jour d'une église rupestre. (Brochure du Centre Pompidou, 09-2015)