Avec Télé 7 jours, découvrez le programme à ne pas rater. M6 va faire voyager ses téléspectateurs ce samedi soir en les emmenant sur L’Ile fantastique où tous les désirs, même les plus fous, peuvent être réalisés. La chaîne propose ainsi, à partir de 21h10, quatre épisodes de la saison 1 du remake de la série éponyme culte américaine diffusée entre 1978 et 1984.
Une nouvelle version portée par Roselyn Sánchez (Devious Maids, FBI : Portés Disparus) qui se glisse dans la peau d’Elena Roarke, celle qui peut réaliser tous les souhaits des heureux clients du complexe de luxe hôtelier Fantasy Island. « C’est la petite nièce de Monsieur Roarke, interprété dans la version originale par Ricardo Montalbán. (…) Cet incroyable héritage est une grande responsabilité pour elle. Il y a des jours où elle est heureuse de cette opportunité, car elle peut changer la vie des gens et les faire réfléchir sur eux-mêmes. Et il y en a d’autres où elle aimerait juste être une fille ordinaire, tomber amoureuse et vivre sa vie », confie la comédienne à Télé 7 Jours en présentant son personnage.
Pour cette suite de L’Ile fantastique, la production a posé ses caméras sur l’île caribéenne de Porto Rico que connaît bien Roselyn Sánchez. C’est là en effet qu’elle est née et a grandi. « J’ai toujours su qu’elle était magique ! », s’enthousiasme-t-elle en avouant malgré tout que travailler en extérieur n’est pas toujours facile, notamment à cause de la météo. « Mais cela nous a donné une matière supplémentaire pour incarner nos personnages. J’ai pu exercer mon métier au quotidien avec des gens que je connais depuis plus de trente ans, des gens qui m’ont vue grandir en tant qu’actrice, qui se souviennent du jour où j’ai quitté Porto Rico, à 21 ans, avec une valise pleine de rêves ».
Aujourd’hui, la star américaine est devenue une actrice incontournable du petit écran. Ce qui ne l’empêche pas de ressentir un certain trac face à ce défi si particulier qu’est « redonner vie à une série culte ». « Passer d’un héros à une héroïne est aussi un défi de taille, les comparaisons sont inévitables. J’ai fait du mieux que j’ai pu pour que les gens s’attachent à Elena… Maintenant, je n’ai aucun contrôle sur la manière dont ils vont l’accueillir dans leur salon. Il faut savoir lâcher prise. En fait, je ne vais pas vous mentir, c’est un peu effrayant », conclut-elle.
Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat avec Télé7Jours par Pauline Hohoadji avec des propos recueillis par Amandine Scherer.