Avec Télé 7 jours, découvrez programme qui fait l’actu à la télévision. Et coup de projecteur sur la série évènement de TF1 : Les Combattantes qui a été présentée en avant-première au festival de la fiction de La Rochelle. On reconnaîtra l’univers et le ton du Bazar de la charité puisqu’il s’agit des mêmes créateurs. Cette fresque historique met en lumière le rôle des femmes pendant la Première Guerre mondiale, à travers le destin bouleversé de quatre héroïnes. En voici les protagonistes.
Quand son mari est appelé au front, cette jeune femme de caractère (Sofia Essaïdi) doit reprendre les rênes de l’entreprise familiale. Elle va tout faire pour maintenir à flot les affaires de son époux.
Prostituée au lourd secret, Marguerite (Audrey Fleurot) se fait embaucher dans un bordel de campagne pour se rapprocher du front. D’une efficacité redoutable dans son travail, elle va attirer tous les regards et susciter des jalousies.
Alors que son couvent est envahi par les blessés, la Mère supérieure de Saint-Paulin (Julie de Bona) recueille Suzanne, une jeune femme recherchée par la police, ainsi qu’un soldat mutique.
Ce sont un peu les « Thénardier » de la série. Frère et sœur, Marcel et Yvonne Dumont (Yannick Choirat et Florence Loiret-Caille) tiennent d’une main de fer le bordel local. Leur quotidien va être chamboulé par l’arrivée de la troublante Marguerite.
Père de deux fils, Léon, qui a suivi ses traces, et Joseph, médecin, ce brillant militaire de carrière (Tcheky Karyo) va se révéler un allié de taille pour certaines de nos combattantes.
Fugitive pour des raisons obscures, Suzanne (Camille Lou) va trouver refuge dans le couvent de Mère Agnès. Infirmière de métier, elle est rapidement sollicitée au chevet des blessés, et sa présence va s’avérer indispensable.
Supérieur de Mère Agnès, l’abbé Vautrin (Laurent Gerra) voit en cette guerre l’occasion de resserrer les liens entre l’Église et l’État. Bon et bienveillant en apparence, c’est un personnage ambigu.
Le fils du général Duvernet, nommé médecin-major, est submergé par les blessés qui lui sont amenés au couvent de Mère Agnès. Dépassé par les événements, il considère l’arrivée de Suzanne comme une bénédiction.
Froide et austère, Éléonore (Sandrine Bonnaire) voit d’un très mauvais œil la gestion de l’entreprise familiale par sa belle-fille, Caroline. Mais face à ses efforts dantesques, elle va peu à peu se laisser convaincre de sa légitimité.
Bien décidé à reprendre en main les affaires de son frère, Charles Dewitt (Grégoire Colin) est prêt à savonner la planche de sa belle- sœur, Caroline. Sans scrupules, drogué et imbu de lui-même, c’est l’anti-héros par excellence.
Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat avec Télé7Jours par Amandine Scherer