Avec Télé 7 Jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision, on vous conseille cette semaine Doc, une série médicale italienne qui met en scène un médecin devenu consultant après avoir perdu la mémoire de ses 12 dernières années à la suite d’une tentative de meurtre. Une fiction inspirée d’une histoire vraie dont la saison 2 arrive mercredi 1er juin à 21h10 sur TF1. La première saison est également disponible sur Salto.
Professionnellement parlant, tout sourit à Andréa Fanti qui officie comme chef de service de médecine interne de l’hôpital de Milan. Mais sa vie bascule lorsqu’il est pris pour cible par un tueur. Il se réveille en ayant oublié les 12 dernières années de sa vie. Contraint d’entamer un long combat pour se reconstruire, il arrive à reprendre l’exercice de la médecine, tout en enquêtant sur celui qui a essayé d’avoir sa peau. Tel est le point de départ de Doc, série italienne plébiscitée chez nos voisins transalpins et diffusée sur TF1.
Dans le premier épisode de cette saison 2 à voir mercredi 1er juin sur la Une, on retrouve le Doc en février 2020 face à une situation difficile. Toute son équipe est en train de s’effondrer et de se séparer. Kidane prépare son départ, Elisa propose à Gabriel de la rejoindre en Ethiopie après sa spécialisation… Il va tout faire pour essayer de garder ses collègues aussi soudés que possible. Mais un nouveau virus provoquant de la fièvre et des malaises fait son apparition. Une maladie qui va profondément bouleverser l’hôpital qui devra prendre en charge plusieurs patients touchés par ce mal mystérieux.
Portée par Luca Argentero alias Andrea « Doc » Fanti, cette série italienne lancée en 2020 est inspirée d’une histoire vraie ; celle de Pierdante Piccioni, un urgentiste qui a perdu la mémoire après un grave accident de la route. « Les gens qui m’ont connu avant me disent généralement que j’ai beaucoup changé… mais en mieux ! Ce qui a changé par ailleurs, c’est que si je suis toujours médecin, je suis aussi un patient. Et je dois passer régulièrement des examens IRM ainsi que des tests psycho-comportementaux pour obtenir l’autorisation de continuer à exercer mon métier. En effet, il n’y a aucune garantie que ma situation, au niveau cérébral, soit stabilisée », a confié à Télé 7 Jours ce vrai médecin qui a dû reprendre ses études après son accident pour pouvoir reprendre son métier.
Cet article a été écrit dans le cadre d’un partenariat avec Télé7Jours par Frédérick Rapilly/Clara Kolodny